Le 14 décembre, quelques heures après le passage de Chido, nous retrouvons nos maisons inondées, éventrées, leurs toitures dispersées comme des feuilles mortes. Dans nos rues, sur nos places publiques, un nouveau paysage s’est dessiné : ici la tôle du voisin, là-bas une charpente méconnaissable. Les troncs massifs, déracinés par
Faut-il toujours mettre aux normes, quitte à repousser plus loin des populations déjà précarisées ?
La Case Sim, objet social et urbain de Mayotte.